Elles sont 182 femmes du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) dénombrées dans les Conseils régionaux, après la publication des résultats du scrutin du 6 décembre dernier.
Le Président national du Rdpc a toujours accordé une place de choix à la gent féminine. L’objectif étant de répondre aux changements sociologiques du pays, conformément aux idéaux du Parti. Ainsi, il a une fois de plus voulu faire la part belle aux femmes en prenant en compte leurs candidatures. C’est dans ce sens qu’au sortir des élections régionales du 6 décembre 2020, sur toute l’étendue du territoire, elles font désormais partie des équipes qui ont un rôle majeur à jouer dans le développement local, à travers la décentralisation impulsée par le chef de l’Etat, Paul Biya.
Comme il l’a toujours instruit, il est question de la promotion des femmes et dans le Rdpc, la hiérarchie sait bien le faire. Elle a su veiller sur leur représentativité dans toutes les listes présentées lors des élections. On les a ainsi vues sur tous les fronts lors de la campagne bien supervisée par la présidente du Bureau national de l’Ofrdpc, Yaou Aïssatou, qui a su mettre sur pied des stratégies pour rester en contact permanent avec ces dernières. Donc, une cellule de veille a été installée pour le suivi particulier des candidates. Non sans oublier, la collaboration avec chaque point focal des dix régions du Cameroun pour accompagner ces valeureuses femmes du Rdpc dans la quête des sièges. Ce qui a porté des fruits et elles sauront marquer ainsi leur passage en contribuant en tant que acteurs de la décentralisation pour l’amélioration des conditions de vie des populations. Lequel épanouissement est une priorité pour le président de la République. Ainsi, l’intégration des femmes dans le développement local vient confirmer non seulement le réalisme et le légalisme dont fait preuve le Rdpc, mais également la fidélité aux idéaux du parti.
En attendant les prises de fonction, elles sont prêtes à jouer pleinement leur rôle pour donner un nouveau visage aux localités qu’elles représentent.
Marthe MAKOUKAM